Rennes-le-Château autopsie d’un mythe

23/04/2015 09:09

Nous avons tous entendu parler un jour ou l’autre de « l’affaire  Saunière », qui ne représente pas une énigme en soi mais plus un secret avorté et développé à outrance par le mythe de l’or.

Le 1er juin 1885, arrive un modeste curé de 33 ans, qui, après quelques périples locaux et notamment à Alet les Bains est fraichement nommé à la cure de Rennes le Château, en l’église Sainte Marie-Madeleine. 

En 1891, Béranger Saunière, entreprend de réhabiliter le patrimoine religieux avec l’autorisation de la mairie et fait faire des travaux dans l'église partiellement ruiné. C'est lors des travaux que les ouvriers découvrent dans le pilier Mérovingien qui supporte le  maître-autel, trois fioles où sont logés quatre parchemins. (Que Saunière donnera à traduire au conseil de son évêque « Mgr Beauséjour. » Deux d’entre eux disparurent, les derniers furent rendus sous forme de copie-conforme.) Quoi qu’il en soit, continuant la réfection de l’église Marie-Madeleine, construite sur les fondations de l’ancien fort Wisigoth datant du Xe siècle. Béranger Saunière retourna la dalle située devant le Maître-autel (Elles protégeaient les ossements que l’on attribue au Mérovingien, inconnu de l’histoire, Sigebert IV, fils du Roi Dagobert II, le saint…le dernier de la dynastie...) Les parchemins que découvrit Saunière, le conduisirent vers un fabuleux dépôt.

Depuis maintenant plus de soixante dix ans, cette aventure a fait couler des torrents d’encre, dans les eaux agitées d’une littérature pseudo hermétique…           

Que découvrit l’abbé saunière ?

En oubliant volontairement une impossible société « Angélique »  et un bien improbable « Prieuré de Sion », dans la spirale de cette saga, il est opportun de dire que  la découverte de l’abbé consistait principalement en un pactole sonnant et trébuchant.

Souvent l’arbre cache la forêt et nombreux sont ceux qui reconnaissent aujourd’hui que rien de sérieux n’a été découvert dans cette ténébreuse affaire, qui paraît frappée d’anathème, tout en se transformant au cours des ans, en une légende pour simples d’esprit…

Cependant des questions doivent se poser à nous. L’une d’elles concerne la bien curieuse activité nocturne à laquelle s’est livré Saunière dans le cimetière du petit village. Déplaçant des pierres tombales et profanant de vieilles sépultures.

Nous pouvons d’ailleurs nous interroger sur une phrase sibylline écrite par le père d’Arsène Lupin :
Maurice Leblanc, dans son roman intitulé  L’aiguille Creuse :

 « Ce qu’on a dû puiser alors ! Avec quels ongles crochus on a dû gratter la pierre ! Tu vois, plus rien...? » (L’aiguille Creuse – Maurice Leblanc, Chapitre X, les trésors des rois de France, page 260 / édition Le Livre de Poche)

Celui-ci enfoncera le clou dans un autre de ces romans avec le  « Le calvaire fleuri » (L’île aux trente cercueils – Maurice Leblanc, Chapitre III, Le fils de Worski, page 56 / édition Le Livre de Poche.)

En allusion à Rennes le Château, mais également à tous ceux qui composent des vers fleuris, c’est à dire qui parlent la langue verte, la langue des oiseaux.

Il semble intéressant de savoir que les Fleury étaient les seigneurs de Rennes et de Blanchefort. Le terrain fleuri porte dans l’église de Rennes le nom de Mont des Béatitudes. Les Evangiles nous apprennent que c’est depuis ce sommet de la Galilée, que le Christ s’adressa à la foule et prononça son Sermon sur la Montagne.

Le fin Maurice Leblanc situe tout le déroulement de son histoire romancée sur l’Ile de
Sarek …là où se trouvent les « Portes de l’Enfer... »

L’anagramme de Sarek  nous donne «  Arques », nom d’un petit village des Corbières, situé à une dizaine de kilomètres de Rennes le Château.

Les ongles du diable qui soutient le bénitier de l’église de Rennes, implanté par Bérenger, sortent des doigts crochus…ce sont peut-être eux qui ont gratté la pierre de «  L’île aux trente cercueils ! »        

A propos d’arques

Le tombeau d’Arques a longtemps polarisé l’intérêt des chercheurs de trésors qui évoluaient sur les pas de Saunière. Rappelons que ce monument, aujourd’hui rasé, ne se trouvait pas sur la commune d’Arques, mais sur celle de «  Serres ».

La chronique locale prétendait que ce sépulcre abritait les dépouilles de deux anglais. Dans la langue de Shakespeare, l’adjectif Dark signifie : sombre, obscur…

Curieusement cette petite sépulture ressemblait au célèbre tombeau qui figure sur la toile de Nicolas Poussin «  Les Bergers d’Arcadie. » Chacun sait que la devise qui l’accompagne
Et in Arcadia ego a suscité bien des commentaires.

Il nous faut préciser que le tombeau d’Arques ne fut construit qu’en 1903. S’il ne constitue pas une pièce majeure dans le puzzle qui nous intéresse, nous devons quand même nous poser la question afin de savoir pourquoi la famille Lawrence l’avait fait édifier dans un paysage totalement analogue à celui figurant sur l’œuvre de Poussin?

Nota : il existe deux toiles exécutées par l’artiste et ayant le même thème pour sujet.
La première fut peinte en 1627 et l’autre dix ans plus tard en 1638

L’ombre d’Henri Boudet

Le livre de l’abbé Henri Boudet, curé de Rennes-les-Bains,         

«  La Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains »  fut publié une première fois en 1882, puis réédité en 1886, chez l’imprimeur François Pomiès. Si nous voulions jouer avec les mots, nous dirions que François Pomiès nous fait penser au fils de Charles d’Orléans, François Ier…

Boudet fut le mentor de Bérenger Saunière, qui dans cette aventure devint Le phare du bout du monde, une sorte de leurre servant à voiler un mystère détenu par le curé de Rennes-les-Bains.

L’hypothèse selon laquelle ce terrible secret fut partagé avec leur confrère l’abbé Gellis, curé de Coustaussa ne doit pas être exclus. Chacun sait que ce dernier fut assassiné pour avoir voulu révéler une redoutable vérité, liée à l’histoire secrète de l’humanité.

Dans son livre codé, Henri Boudet  a écrit cette très étrange phrase :
« …c’est ainsi que le cromleck de Rennes-les-Bains se trouve intimement lié à la résurrection ou, si l’on veut, au réveil inattendu de la langue celtique… »

Peut être pourrions-nous rapprocher ces lignes de celles rédigées par Paul Arène dans «  Le curé de Cucugnan », conte dans lequel, on trouve un médecin capable de ressusciter les morts.

Lorsque l’on lit avec un peu d’attention l’ouvrage d’Henri Boudet, on se rend rapidement compte, que ce long texte contient la solution à l’énigme du trésor et de l’inconcevable secret de Rennes le Château. L’abbé a utilisé dans sa rédaction un système de cryptage simple, mais tortueux.
Une question capitale ressort d’une fine lecture. Pourquoi l’auteur nous entretient-il à la page 75 de son livre du Saint des Saints, lieu sacré entre tous, qui contenait le palladium de la nation juive.

Boudet est explicite :

«  …ce brillant appareil dans la proclamation de la loi a fait donner à cette montagne le nom de Sinaï…Moïse reçut l’ordre de construire le Tabernacle et l’Arche d’Alliance… »

Réfléchissons un instant. Que vient faire l’Arche d’Alliance dans un livre consacré aux Celtes et à la région de Rennes-les-Bains ?

En enfonçant le clou un peu plus en profondeur, il nous est possible de retrouver d’autres bizarreries. C’est ainsi que dans la fameuse carte de  «  Rennes Celtiqve »  signée Edmond Boudet…le frère de l’autre, carte que l’on retrouve à la dernière page de «  La Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-les-Bains », il existe une sorte d’anamorphose. En effet, en plaçant un miroir au centre de cette dernière, des choses bien étranges se révèlent
un OVNI par exemple ou La Tête de la Bête ! Est-ce un hasard ou s’agit-il d’un message adressé à de sagaces chercheurs ? Rien n’interdit de penser que la vraie réponse à l’énigme de Rennes le Château se trouve résumée par de savantes images (voir nos photos).

Le village de Bugarach et son église.

La commune de Bugarach est située à 420 mètres d’altitude. En contrebas du village, se dressent les restes d’une petite fortification, datant très certainement du XIIIe siècle et dont seul le donjon est resté debout, menaçant de s’effondrer un jour prochain.

Cette petite tour possède la singularité d’avoir sur le mur de gauche de la salle basse, des graffitis gravés représentant un bateau de pêcheurs, une coupe et une série de trois pentagrammes dont un est inversé.

L’église de Bugarach est placée sous la protection de notre-dame. Sa construction remonte à 1194, le clocher a été rapporté au XVIe siècle.

Ce saint lieu détient une particularité surprenante. Tous les personnages représentés sur les vitraux ont le contour du visage dessiné, sans que les yeux, le nez ou la bouche  n’apparaissent. Comme on le devine, il est impossible d’identifier ces saints anonymes !

*voir à ce sujet sur ce blog notre article « les Argonautes de Bugarach » ainsi que notre livre « Arcane 10, les secrets initiatiques de Rouletabille et Arsène Lupin – éditions OXUS.    

Jules verne amuseur d’enfants ou initiateur subtil ?

Notre enfance n’a pas pu se dérouler sans avoir lu au moins une fois un récit du Maître Visionnaire que fut Jules Verne…Visionnaire du possible, comme il aimait se définir lui-même.

Jules  Verne a fait rêver des générations de lecteurs, avec ses voyages extraordinaires. Cet auteur jonglait avec les mots : cryptogrammes, anagrammes, métagrammes ou logogriphes, n’avaient aucun secret pour cet esprit hors du commun, véritable interprète de  « La Gay Science ».

Nombreux sont ceux qui estiment que Verne aurait appartenu à l’Ordre des Polaires ou «  Equipe du Grand Nord »  qui lui aurait remis une curieuse médaille chiffrée, permettant le cryptage de ses écrits selon des techniques de kabbale numérique et de symbolisme cosmique.

Sans preuves formelles d’autres affirment que Jules Verne aurait été un Frère de la Lumière, membre d’une Loge Maçonnique de recherche.

Un fait semble certain, l’écrivain fut coopté dès 1846 par une société secrète, qui se réunissait Passage Pommeray à Nantes.

Une piste qui n’a pas encore été totalement exploitée pourrait nous conduire également sur les traces de l’auteur de « Vingt mille lieues sous les mers » au sein de la vaste bibliothèque de l’invisible Collège, société secrète à laquelle appartenait René Descartes.

Jules Verne, initié initiant, comme l’a si bien nommé un auteur moderne, publia en 1896 ce qui semble être, à première vue, un vaudeville tout à fait anodin :
« Clovis Dardentor » : Clovis le rejeton Ardent.

Ce récit d’aventures dont le thème principal est celui de l’adoption. A cet effet, il est intéressant de noter que : (…) Mérovée chef Sicambre de 448 à 458, au service des rois de Francs de Tournai, fut adopté par son oncle Clodion, dernier représentant de la dynastie de Tournai.  Son arrière petit-fils, Childéric, prit pour emblème royal, L’abeille d’or.

Jules Verne, sans fioritures, de suite, annonce la couleur et nous plonge en pleine  lignée mérovingienne.

Ce qui semble pour le moins curieux, pour un écrivain nordique, c’est qu’il nomme le capitaine de son navire Le Capitaine Bugarach !

Nous tournons en rond et nous voici revenu à l’église dont nous avons parlé plus haut et devant un vitrail bien particulier qui représente un navire toute voile ouverte !

Très curieux vitrail sur lequel on découvre de part et d’autre du mat de la nef représentée, deux personnages vêtus d’habits aux couleurs inversées. Tous deux sont accrochés à une roue susceptible de représenter la «  rouelle du temps «  aussi bien qu’une commande de gouvernail !

L’embarcation semble voguer sur des flots verts, une mer alchimique, mais une autre interprétation  peut également être valable. La frêle barque pourrait également être posée dans une vallée bordée de collines.

Est-ce un hasard, si au pied de l’imposant Mont Bugarach un petit hameau se nomme
Les Capitaines ? Non, et le stade de l’allusion est ici dépassée.

«  Sous le commandement du Capitaine Bugarach, rien  à craindre. Le vent favorable est dans son chapeau et il n’a qu’à se découvrir pour l’avoir Grand Largue ! »
(Clovis Dardentor, Jules Verne)

En règle générale, le Mont Bugarach est toujours recouvert de son chapeau de nuages…

Que savait l’abbé Boudet sur la présence d’un peuple de l’espace implante sur notre planète ?

L’OVNI, qui apparaît par réflexion dans un miroir, sur la carte de Boudet, est peut-être lié aux curieux personnages sans visages qui figurent sur les vitraux de l’église de Bugarach, être lumineux géniteur de ce Rejeton Ardent qui brille dans son éclat d’or. De surcroît, il vogue sur un navire baptisé L’Argelès : Argelès qui est l’anagramme du Grésal…autre nom du Graal !

La Sainte Coupe liée à l’initiation, dont la légende affirme qu’elle fut taillée dans l’émeraude tombée du front de Lucifer, l’archange Porteur de Lumière, Commandeur des Armées Célestes, sorte de Prométhée, déchu pour avoir apporté aux hommes le Feu de la Connaissance…

Mais ne soyons pas naïfs et posons-nous une autre question : et si Lucifer Prométhée avait été le complice des Dieux et que le Feu qu’il prétendait avoir ravi lui avait été donné pour tromper et asservir la race humaine ? 

Tout cet ensemble de faits et de réflexions est susceptible de nous inspirer une hypothèse. Hypothèse dérangeante…Imaginons un instant que tout le mystérieux secret de Rennes le Château réside autour d’un crash d’ovni, et pas de n’importe quel vaisseau venu d’un autre espace, mais celui d’une entité nommée Lucifer.
Cela expliquerait bien des romans de Jules Verne dans lesquels foisonnent des machines volantes ultra perfectionnées. De «  Robur le Conquérant », au «  Maître du Monde », en passant par «  Vingt Mille Lieues sous les Mers » et «  l’Ile Mystérieuse », l’écrivain a mis en scène un seul et même unique personnage voilé sous les traits d’un autre. Il s’agit à chaque fois d’une intelligence hors du commun que l’on peut qualifier d’extraterrestre !

L’abbé Boudet semble nous avoir confié une clé de lecture, quand il écrit dans son sulfureux ouvrage :

«  Où trouver le flambeau qui dissipera les Ténèbres ?

N’est-ce pas dans le langage que nos pères nous ont légué ? »

La chute d’un engin spatial au Bugarach expliquerait alors la teneur anormale de radioactivité que charrient les eaux de La fontaine salée à certaines époques de l’année dans le village de Sougraigne, au sud-ouest du Bugarach.

Dans un de ses récits : Les Mirifiques Aventures de Maître Antifer, Jules Verne évoque une chasse au trésor. Lorsque ses personnages se retrouvent au Castle d’Edimbourg, l’Arthur Seat qui  ressemble à un lion couche, lorsqu’on le regarde du côté de l’ouest. En anglais «  Seat » est un siège et si ce dernier figure un lion couché, nous sommes assurément sur un lieu gardé, où il est périlleux de s’asseoir.

Astucieux jeu de mots pour ne pas dire Périllos, la commune sur laquelle on retrouve bien évidemment un
«  Pic Guenièvre ! »

Un secret, dont les prolongements vont bien plus loin que le Razès

La curieuse affaire de Rennes le Château s’étend bien au-delà du Comté du Razès. Il semble certain que les secrets qui l’entourent, prennent naissance près de l’envoûtant Pech Bugarach, dont le sommet semble tutoyer le ciel.

Tout ce qui l’environne, comme l’or, a la couleur du soufre et la vérité semble encore plus incroyable que tout ce que l’on peut imaginer.

Boudet et Saunière en avaient trouvé les clés. Jules Verne, Maurice Leblanc et Gaston Leroux ont abordé dans leurs ouvrages, mais avec beaucoup de prudence, l’énigme qui pèse sur Rennes et sa région. Pour transmettre à la postérité une vérité qui, nous en sommes persuadés, éclatera un jour prochain, ces auteurs avaient choisi d’imaginer des personnages et des situations extraordinaires qui voilent une réalité dont les prolongements pourraient nous réserver bien des surprises.

 

Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé©

Photo de la collection de Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé.

 

Annexe et notes bibliographiques

- Rennes-le-château, étude critique de Franck MARIE – éditions Vérités Anciennes S.R.E.S.- Bagneux 1978.

- Le Serpent Rouge de Franck MARIE – éditions Vérités Anciennes -  S.R.E.S.- Bagneux 1979.

- La résurrection du Grand Cocu de Franck Marie - Editions S.R.E.S.- Vérités anciennes - Bagneux 1981.

- Le Surprenant Message de Jules Verne - Franck Marie- Editions S.R.E.S - Vérités anciennes - Bagneux 1981.

- Alet les Bains, les portes du Temps - Franck Marie- Editions S.R.E.S - Vérités anciennes - Malakoff 1984.

- Les Chapelles Alchimiques du sud-est - Le Grand Secret des Antonins - Guy Tarade - Editions Cheminements 1999.

- Initiés Symbolisme et lieux magiques - Guy Tarade - Editions Ramuel - 2000.

- Les Prophéties au rendez–vous de l’histoire, Guy TARADE, éditions Souris Book, Cannes 2002.

- Arcane 10, les secrets initiatiques de Rouletabille et Arsène Lupin – Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé – éditions Oxus – Paris 2004.

- Rennes-le-Château : Le dossier des impostures, les phantasmes, les  hypothèses - Gérard de Sède - Editions Robert Laffont – 1988..

- Rennes le Château et l’énigme de l’or maudit - Jean Markale - Editions Pygmalion – 1989.

- Rennes-le-Château : capitale secrète de l’histoire de France – Jean Pierre Deloux et jacques Brétigny - Editions Atlas – 1982.  
                 
- Les Châteaux cathares et les autres, les cinquante châteaux des Hautes Corbières - René Quehen et Dominique Dieltiens—Documents : Archives départementales de l’Aude.      

- Archéologie du Midi Médiéval - Tome 1 – 1983 / Document : Archives  Départementale de l’Aude.

- Histoire générale de Languedoc de Dom DEVIC et Dom VAISSETE – Tome IV, et Mémoires de la Société des Arts et des Sciences de Carcassonne – 3ème série – Tome III. 

- Le trésor du  triangle d’or par Jean Luc Chaumeil – éditions Alain Lefeuvre – Nice 1979.

- Rapport Pumaz – Neuilly 1977.

- La vraie langue celtique et le cromlech de Rennes-les-Bains  - Abbé Henri Jean Jacques  Boudet - réédité par les Editions Belfond – 1978.
      
- Dictionnaire encyclopédique de l’étrange des mythes et des légendes - Roger Antoni - Edité par l’auteur – 2000.
     
- Dictionnaire des Symboles - Jean Chevalier et Alain Gheerbrant - Editions Robert Laffont 1982. 
        
- Dictionnaire toponymique des communes de l’Aude - Docteur Jacques     Lemoine - Edité par l’auteur – 1941.

- Arsène Lupin supérieur inconnu – La clef de l’œuvre codée de Maurice Leblanc -  Patrick Ferté –  Guy Trédaniel éditeur – éditions de la Maisnie– Paris 1992 .

- La langue des oiseaux, quand ésotérisme et littérature se rencontrent de Richard KHAITZINE – éditions Dervy - Paris 1996.

- L’étrange histoire de l’abbé Béranger Saunière Documentaire vidéo par Arcanae Vidéo 5, rue Delille  - 06000 Nice.

 - Arsène lupin par Maurice Leblanc tous les ouvrages de  la collection des éditions le livre de poche.

*Les graffitis de Bugarach ont fait l’objet d’un relevé par Jean-Pierre Sarret en 1967. Ce dernier a été publié dans le Bulletin de la Société d’études Scientifiques de l’Aude T67. Page 30 1970

** Le Mont Bugarach a été appelé «  Pech de Tauze » pendant le Traité de Colbert, ce qui signifie : Mont Chauve.

***Le toponyme « Puech » provient du latin "Puy", signifiant hauteur, colline, piton. Et également « Pech » dérive du latin Podium qui désigne un endroit plat et surélevé.