Collisions ovnis / avions les dossiers "oubliés"

28/07/2016 08:41

Ce fut Jimmy Guieu qui dans son excellent livre "Black-out sur les soucoupes volantes" révéla le premier, un fait divers  demeuré mystérieux, se rapportant à la disparition d'un avion au début de l'année 1952.

Une superforteresse B 29volait au nord d'Hokkaido (Japon) et était parfaitement suivie par les radars qui l'avaient en charge. Ces stations détectèrent bientôt un "avion inconnu" qui rentrait dans le champ des radars scopes. Il sembla se fondre avec le B 29 et ce dernier lança bientôt un signal de détresse…Mais il ne fut jamais retrouvé !

Le 2 mai 1953, un Comet heurta au-dessus de Calcutta un objet non identifié. Il explosa quarante-trois personnes se trouvaient à bord, il n'y eu pas de survivants.

Toujours en 1953, deux pilotes de la compagnie Fonga, de Pau, approchaient en vol d'un engin discoïdal ressemblant à une assiette renversée surmonté d'un dôme, qui survolait Pau.

A quelque distance de l'OVNI;, les pilotes durent précipitamment plonger pour s'éloigner des parages de la soucoupe : leur cockpick était devenu intolérablement chaud.

Le 2 avril 1954, un objet aérien inconnu évoluait dans le ciel de l'Etat de New-York; l U.S Air-Force chargea un "Starfire" d'intercepter l'engin. Les détecteurs radars dirigèrent la poursuite; pour cette mission, le jet était armé de fusées air-air pour l'attaque. En approchant de l'OVNI, la chaleur devint subitement insupportable. Le pilote et le radariste durent sauter en parachute au moment même où l'avion s'embrasait. En l'espace de quelques secondes le "Starfire" était entré en incandescence.

Bien qu'aucun document officiel, à notre connaissance, ne fasse état d'actes agressifs entre les OVNI et des avions le témoignage de personnes dignes de foi démontre que cette éventualité existe.. Le 1er avril 1959, à 07h44 était capté un "S.O.S" (May day) émanant d'un avion cargo C 118 qui avait décollé de l'aérodrome militaire McChard à Tacoma (Etat de Washington). Ce matin là, à 06h30 l'appareil avait pris l'air  normalement avec quatre hommes d'équipage à son bord. Soudain la tour de contrôle capta ce message angoissé:

-Nous avons heurté quelque chose, ou quelque chose nous a heurtés.

Quelques secondes de silence puis le pilote hurla :

May day! May Day !  Appel de détresse en phonie internationale.

Le gros avion de transport s'écrasa sur les pentes d'une montagne entre Summer et Orting. Il n'y eu pas de survivants. De nombreux témoins qui assistèrent aux derniers instants de l'avion abattu déclarèrent que deux disques jaunes et orange poursuivaient de près le C 118.

L'accident de Palomarès

Nous aimerions prospecter dans l'Etat de Virginie deux sites bien particuliers, où les curieux de notre espèce ne sont pas les bienvenus. Il s'agit  de Langley où est implanté le siège de la C.I.A., et Arlington, là-même où le Département de la Défense (le Pentagone) conservent leurs dossiers les plus secrets. L'un d'eux concerne Palomares en Espagne!

Le lundi 17 janvier  1966 l'Us Air-Force annonçait officiellement qu'un bombardier géant B 52 du Startégic Air Command et son avion ravitailleur un CK 154 s'étaient accrochés en vol à la verticale de la petite ville andalouse de Cuelvas de Almasor. On prétendit que plusieurs bombes atomiques se trouvaient à bord du B 52 avaient été perdues. Le lendemain même une véritable armada  de la 6e Flotte basée en Méditerranée arrivait sur les lieux de la catastrophe. pendant plusieurs jours, une activité fébrile régna sur cette zone devenue interdite.

Très rapidement quatre bombe H de 25 mégatonnes furent localisées, il manquait à l'appel une certaine "boîte noire" équipement ultrasecret  permettant d'éviter une guerre atomique accidentelle, sécurité électronique de haute précision. Le film "Fail Safe" a d'ailleurs rendu cet équipement célèbre.

C'est ici justement que le bât nous blesse ! Tout le monde sait depuis la dernière guerre mondiale, que cet appareillage secret  se détruit automatiquement  en cas d'accident survenant à un avion qui en est doté. En effet une petite charge de  T.N.T. explose et met cet instrument hors d'usage en le pulvérisant.

Donc, si ce n'était pas une bombe atomique égarée ni une boîte noire que recherchaient les Américains à Palomares, à quoi pouvons-nous penser ? Ce ne sont pas les anciens techniciens de la 6e Flotte qui nous livreront leurs secrets même près d'un demi-siècle après ce sinistre!

Nous irons donc  chercher la vérité dans les déclarations de M. Rafael Lorente qui se trouvait sur les lieux lors de la collision celui-ci comme de nombreux témoins, déclara:

"Nous avons eu l'impression que TROIS APPAREILS  tombaient, deux à terre et le troisième en mer!"

Rien n'interdit de penser que les fantastiques moyens mis en œuvre l'ont été en réalité pour retrouver ce troisième engin : un UFO ! Voilà ce que recherchèrent sans succès d'ailleurs, dans les eaux de Palomares les services de renseignement américains: UNE SOUCOUPE VOLANTE. Cette dernière entra en collision avec le B 52 et le C 154  volontairement ou accidentellement à 10 000 mètres d'altitude au-dessus de la péninsule ibérique. L'explosion qui en résulta forma un nuage en boule de 1km de diamètre très brillant et fut photographié par un touriste anglais, M. Eddie Fowlie.

Tout ceci explique la réponse sibylline du colonel Barnette Young, "Public-relations" de l'aviation des U.S.A., détaché à Madrid : " Comme ex-journaliste, si je pouvais vous dire ce qui s'est passé ici, ce serait la plus belle histoire de ma carrière !"

Sur les onze aviateurs qui constituaient les équipages, sept furent tués sur le coup. Les quatre autres furent gardés au secret pendant qu'une commission d'enquête les interrogeait de longues heures.

 

Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé©