J'ai retrouvé le « trésor de Rennes-le-Château ! »

26/10/2016 15:51

L'article, de J. B. Que nous publiions ici, n'engage que son rédacteur.
(Les fondateurs du Blog )

 

Fidèle  lecteur  de notre blog et passionné par l’énigme de rennes-le-château, ce dernier nous a prouvé à plusieurs reprises qu'il connaissait parfaitement  tous les  dédales du rébus et le capharnaüm d’énigmes qui planent sur ce lieu perdu du Razès. Ces récits enjolivés sont  soigneusement entretenus, depuis des dizaines d'années, par des chercheurs sérieux, des farfelus et quelques escrocs...  

J.B. est formel : la clé, qui permit à saunière de découvrir son pactole, fut la pierre tombale ou dalle, qui s'élevait sur la tombe de Marie Nègre d’Ables, épouse de François d'Hautpoul. Cette dernière fut recopiée avec précision par Stublein dans le petit cimetière créé en 1740. Curieusement le texte gravé qui figurait sur  la sépulture

Etait rempli de fautes d'orthographe dans le nom de la défunte et même sur la date de son décès. Des lettres de différentes tailles, placées sur une sorte d'invisible échiquier  attiraient le regard du plus naïf. Saunière s'empressa très vite, dès qu'il découvrit  ce libellé, de l'effacer au burin, ignorant certainement le travail de Stublein.

Certains ont prétendu avoir reconstitué le puzzle primitif. Le texte qu'ils en ont tiré  constitue un embrouillamini dans lequel le plus pointu des décrypteurs y perd son latin.

" Histoire des codes secrets «, le remarquable ouvrage de Simon Singh, offre à tous les curieux, le carré de Vigenère, une grille capable de remettre à leur place chaque lettre du rébus du texte relevé par Stublein.

La pieuvre ou le poulpe qui figure en bas du texte, mérite quant à lui qu'on s'y arrête. Il symbolise habituellement les esprits infernaux, voire l'enfer lui-même, ou les cavernes et avens. Cet octopode à l'aspect infernal est lié au solstice d'été, à la porte des enfers. En détaillant  cette représentation gravée, nous pourrions même imaginer qu'il est en rapport avec un compas gradué en grades ou en millièmes, celui qu'utilisaient les anciens navigateurs...ou pourquoi pas se superposer son image et la faire correspondre à  la fontaine des quatre points cardinaux de saint Sulpice ou l'on trouve Bossuet, l'évêque de Meaux, Fénelon, le cygne de Cambrai, Jean-Baptiste Massillon,  Beauregard   l’évêque et Valentin Esprit Fléchier, évêque de Lavaur et de Nîmes, ce sont des prêtres qui ont été évêques sans avoir été cardinaux d'où le surnom de la fontaine des « quatre points (non) cardinaux »
Autre hypothèse, pourquoi ne pas rapprocher la fontaine de saint Sulpice à  un autre petit monument porte comme nom,  la fontaine des quatre Ritous, implanté  au Carla et situé entre le Bézu et Rennes-le-Château, c'est à dire à un jet de pierre de Rennes-les-Bains, fontaine ou avaient habitude de se rencontrer dans la plus grande  discrétion : Saunière, Gélis, Boudet et Mgr Félix Arsène Billard, par ailleurs ces deux fontaines se trouvent matérialisées dans  la pieuvre de la tombe de Marie Nègre d'Ables de Hautpoul et peut désigner la fameuse source de la Madeleine toute proche de Rennes-les-Bains.          

Une ancienne chronique rapporte qu’à la mort de Marie-Madeleine, les rabbins de Narbo Martius, l'actuelle Narbonne, ou coule (l'Atax,) l'Aude,  décidèrent de cacher son corps. Ce dernier se trouverait dans une sépulture située sous le cimetière d'Axat (anagramme d'Atax)... Là même ou repose le corps de l'abbé Boudet.

Mes découvertes m’ont conduit sur des pistes qui se situent sur un secteur proche de rennes-le-château.

Saunière a trouvé un trésor inestimable et fabuleux, notamment un document qui figurait (parmi trois autres), que l’on peut caractériser de « bombe   ».c’est ce dernier qui mit en émoi les plus hautes sphères du Vatican et qui les prédisposa à acheter son silence.

Le prêtre découvrit que Marie Madeleine avait  traversé : Arles, Bompas, Roussillon, le Thor, la Chaine de l’étoile,  avant d’arriver jusqu’à sa grotte de la Sainte Baume, en Provence.  Les deux sommets les plus proches de cette grotte se nomment : le joug de l’aigle et  le saint pilon. Vers celui-ci on voyait jadis, une colonne et les ruines d’un sanctuaire dont il ne reste que le portique. Bérenger Saunière fît  apparaitre ces éléments d’architecture dans le bas relief représentant Marie-Madeleine, sur une fresque placée sous l’autel de son église…éléments que l’on retrouve également sur une toile de poussin « Eliezer et Rébecca » au musée du Louvre à Paris.

Comme le rapporte l'histoire, le culte Marie-Madeleine prit toute son ampleur au moyen âge notamment le centre de pèlerinage  de Vézelay en Bourgogne.

C’est au IXe siècle que se répandit le bruit que cette abbaye abritait le corps de la Madeleine, et les arcanes cachés de l’histoire m’ont amenées à faire une étrange découverte. Le  moine Badilon « profitant de la nuit  alla perforer le tombeau  de la  sainte, afin d'y dérober  les reliques de cette dernière, » ceci, sur   ordre de Girart de Roussillon (des corbières) (connu aussi sous les noms de Girard de Vienne, Gérard II de Paris, comte de Paris, et comte de Vienne.) Ceci afin de  les dissimuler  dans un secteur très proche de rennes-le-château.

Saunière découvrit grâce à un des trois parchemins, qui n’était autre qu’un plan  détaillé,  représentant un secteur bien précis du Pech de Bugarach, un énorme dépôt d'objets précieux et dit-on sacrés.

Daniel Bettex, ancien responsable des services de sécurité de l’aéroport de Genève, archéologue à ses heures prospecta ces lieux et y perdit la vie. Mais tous les chercheurs qui se sont penchés sur l’affaire de Rennes connaissent cette histoire,   pourtant, ce qu’ils ne savent pas, concerne la vraie nature de ce que trouva Daniel Bettex, lors de ses fouilles dans la montagne. Il s'agit d'une précieuse cargaison  ramenée par les templiers, qui  transita par Collioure en 1185…

Les nouvelles vont vite, cette découverte attira sur les lieux, le Général Moshe Dayan. Le site n'avait aucun intérêt stratégique pour lui, mais ce dernier, qui avait prospecté le Sinaï et fouillé à Hébron, dans le périmètre du Haram, où reposent dans la grotte de Machpéla,  Abraham, Isaac, Rébecca, s’intéressait de très prés à l'Arche d'Alliance...

Bérenger saunière et ses amis avaient compris qu’il fallait brouiller les pistes. Ils s’y sont employés en enchevêtrant les traces qui conduisent  aux différents dépôts ? Répartis dans un périmètre assez restreint.

Apparemment pas suffisamment, puisque j’ai retrouvé l’un de ces lieux «  terribles »  et pourtant situé à la vue de tous ! »

 

J.B

 

Illustration par Christophe Villa-Mélé©